Ouïedire, j'en ai déjà entendu parler quelque part

et voilà/ ma fenêtre exposée plein sud a vu mes rozy des neiges fleurir vite, mourir vite. le printemps reste la saison haute des suicides. Les pluies incessantes innondent la nature en éveil : mettons nous à leur place : après des mois de sommeil, qui n’aurait pas envie d’une bonne doudouche ? Vive donc la pluie, celle dedans laquelle nous chantons l’amououououour et l’amour, comme dirait Bender, c’est du bruit Aussi comme je l’écrivais : l’amour c’est le bruit du stylo sur le papier, des doigts sur le clavier, des pieds dans les claquettes l’amour est partout là où il y a de l’eau plic ploc plic ploc plic ploc plic ploc plic ploc plic plic ploc plic ploc ploc miam miam glouglou/ et voilà

« une belle queue* attire toujours les dames la belle sera comblée la bouche du con et même du cul l’urine jaillit de partout elle s’enfonce 10 15 puis 20 centimètres suce-la bien cette grosse queue avec ta gueule de gouine j’ai mis sa queue dans ma chatte des bites prises et bien tenues en main enfoncées jusqu’aux couilles des grosses bites bien raides tout est bon pour jouir même le manche de la brosse à dents » *qu’elle soit de peau, de silicone, en métal, etc. Soeurs Lubriques Ultra Tendres (et) Sagaces : unissez-vous !

The devil’s bath ne sera pas que le meilleur film de l’année, il sera aussi l’oeuvre de la découverte de Soap&Skin à la fois actrice et compositrice. Sa reprise de « voyage voyage » sera le déclic. La musique est-elle le royaume de tous les voyages ? Les paroles gardent leur sens qu’importe l’ambiance musicale « aux espaces inouïs de l’amouououour ». Je m’en remets à Arielle D. par désespoir ; à Barbara pour la subtilité. Le reste demeure au creux de la vague. Bonne écoute ! (merci à Kim pour sa précieuse sagacité)

Sauvage, naturelle, recyclée, mécanique, organique, électrique, électronique, numérique, analogique, modulée, dessinée, bricolée, vibratoire, vibrante, vivante, la lutherie n’est pas qu’une affaire de maîtres, et concerne des musicien.nes de tous les genres qui chacun.e à leur manière façonnent leur propre son et agrandissent le territoire des musiques.

Amour éternel à MⷨAͣXͯ РⷬAͣLMⷨEͤRͬ pour l'enregistrement.

RDV galère à poser.

La guerre tape sur les nerfs. Quelle qu’elle soit. Gilbert Bisou se chagrine du sort de l’humanité comme si c’était ses oignons. Gilbert Bisou épluche ses contes et pleure les forêts. Gilbert Bisou en rigole. Gilbert Bisou embrasse l’atome. Gilbert Bisou se transporte dans la scène finale de The Godfather III : Gilbert Bisou s’éteint dans la lumière de l’automne. Fin de race. Pro-choice. L.O.V.E wins <3 (in dust we trust) Gilbert Bisou découvre le plaisir. Il se passe l’écoute de 2 ou 3 tracks avant qu’une logique s’organise dans l’intemporalité. Quel doux mot, au demeurant /// graoulove <3

Enregistré et diffusé sur Avenir Radio le 25 décembre après-midi Cette espèce est un comestible très médiocre que nous rejetons, mais qu'apprécient les ivrognes car il donne envie de boire.

Exploration musicale & cordiale : La Grotte

Enregistrée un mardi soir à Malakoff en feuilletant l'excellent catalogue Provoke : Between Protest and Performance. En arrières-sons notoires, les pleurs d'un enfant emprunts d'un incommensurable désespoir, un très original miaulement de chat en rute, les modulations itératives des portes métalliques de l'allée et un mystérieux bruit de porte dans la maison