Radio Cite Geneve

Toutes les infos genevoises, suisses et internationales, présentées par Damien Demenus

Récital de Vsevolod Zavidov et remise du Prix Radu Lupu : Mise en lumière d'un événement exceptionnel : le récital de Vsevolod Zavidov, jeune pianiste russe de 19 ans, organisé ce mercredi 11 décembre par la Fondation Radu Lupu. Créée récemment pour célébrer l’héritage du légendaire pianiste roumain, la Fondation Radu Lupu inaugure également le Prix Radu Lupu, qui sera remis pour la première fois à Vsevolod Zavidov. Connu pour sa technique impressionnante et son interprétation émouvante de Beethoven, Chopin, Ravel et Stravinsky, ce prodige incarne parfaitement l’esprit artistique que cette fondation souhaite perpétuer. Cet événement illustre la mission noble de la Fondation : soutenir de jeunes artistes prometteurs tout en honorant la mémoire et l’héritage musical de Radu Lupu. Nous avons eu le privilège de nous entretenir avec Vsevolod Zavidov, dans un échange où il revient sur son parcours et ses inspirations. Les propos ont été traduits de l’anglais au français par Pierre Scheid. - - - - - Ensemble Batida et présentation de la saison 2025 : Nous suivons ensuite Alexandra Bellon, musicienne de l’Ensemble Batida et enseignante au CFP Arts Necker, qui se produira avec son groupe ce dimanche 15 décembre à la Fonderie Kugler. Deux jours auparavant, l’Ensemble Batida dévoilera sa saison 2025 lors d’un événement à l’Usine Parker de Carouge. Deux rendez-vous à ne pas manquer, mêlant traditions classiques et musique contemporaine, pour une plongée au cœur de la richesse artistique genevoise. https://play.vod2.infomaniak.com/single/1jhvl2uqs98t5/1jhvl2upzw9lo/1jhvl2uqs98ta.mp3

Le programme GenSouth, initiative phare du think tank Foraus soutenue par le Département Fédéral des Affaires Étrangères (DFAE), a pour ambition de repositionner les perspectives du Sud global dans les discussions sur le multilatéralisme. À Genève, ce projet innovant a rassemblé 15 jeunes chercheurs et chercheuses issus des pays en développement pour repenser les réformes nécessaires au système multilatéral. À travers des échanges intenses et constructifs, ces leaders d’opinion ont élaboré des propositions concrètes, qui seront publiées dans un rapport attendu en 2025. Dans cet épisode, nous recevons Marième Cissé, chercheuse senior à WATHI au Sénégal, qui a participé activement à ce programme. Forte de son expertise sur les questions d’égalité des genres et du développement du capital humain, elle revient sur les apports essentiels des pays du Sud dans un dialogue souvent dominé par des perspectives du Nord. GenSouth illustre la volonté de Genève d’être un tremplin pour une gouvernance mondiale plus inclusive, en intégrant les expériences et recommandations des pays en développement.

Voici une rencontre sympathique avec Me Philippe Currat Président de la Fondation Martin Ennals qui célèbre son 30e anniversaire cette année, le prix a été décerné ce jeudi 21 novembre à Genève. De quelle façon est prise la décision de remettre ce prix, quels sont précisément les organes qui valident les lauréats ? C’est ce que notre interlocuteur va nous expliquer. Alors, bonne écoute et merci la Vie!

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Le programme GenSouth, développé par le think tank Foraus avec le soutien du Département Fédéral des Affaires Étrangères (DFAE), propose une vision ambitieuse pour redéfinir le multilatéralisme en intégrant les perspectives du Sud global. Ce projet innovant a récemment rassemblé à Genève une quinzaine de jeunes universitaires et chercheurs issus de pays en développement, âgés de 20 à 35 ans. Ensemble, ils ont exploré des pistes de réformes nécessaires pour relever les défis mondiaux actuels et futurs. L’objectif de GenSouth est clair : offrir une plateforme où les leaders d’opinion du Sud peuvent dialoguer avec leurs homologues du Nord, promouvoir une coopération Sud-Nord équitable et élaborer des initiatives concrètes pour un multilatéralisme plus inclusif. Un rapport politique intégrant les recommandations des participants sera publié début 2025, soulignant les propositions de ces jeunes experts pour transformer la gouvernance mondiale. Dans cette première partie, nous rencontrons Marie Hürlimann, co-directrice de Foraus, pour découvrir les coulisses et les ambitions de ce programme unique.

Dans cet épisode de Radioliteractif, Sita Pottacheruva reçoit Vincent Gerber pour parler de son essai "L'imaginaire au pouvoir : science-fiction politique et utopies", publié en 2024 aux Éditions Le Passager Clandestin. Lauréat du Prix de l’Essai 2023 de la Société Genevoise des Écrivains, cet ouvrage propose une analyse approfondie des liens entre la science-fiction et le politique. À travers des auteurs emblématiques comme Philip K. Dick, Ursula K. Le Guin ou Alain Damasio, Vincent Gerber révèle comment la science-fiction dépasse le simple divertissement pour devenir un outil critique et utopique, capable d’interroger et de réinventer nos sociétés. Cet essai, qui manquait au paysage littéraire, s’adresse autant aux passionnés de science-fiction qu’aux curieux des dynamiques sociales et politiques contemporaines.

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Originaire de Khan Younès dans la bande de Gaza, le journaliste et réalisateur indépendant Iyad Alasttal s’est imposé comme une voix incontournable du paysage médiatique palestinien. Marqué par une vie sous blocus et les violences récurrentes qui frappent la région, il a su transcender ces défis pour offrir un témoignage unique et poignant. Grâce à ses documentaires primés et à son projet “Gaza Stories”, Iyad Alasttal capture avec une rare humanité la vie quotidienne des Palestiniens, révélant leur résilience face à l’adversité. Après la guerre de 2023-2024, contraint de quitter sa terre natale, il s’est réfugié en France avec sa famille, tout en poursuivant son travail de témoignage et de sensibilisation. Son parcours illustre parfaitement la mission de la Press Emblem Campaign (PEC), qui défend la protection des journalistes dans les zones de conflit et leur droit à témoigner. En reconnaissance de son courage et de son engagement, Iyad Alasttal a reçu le Prix PEC 2024 pour la Protection des Journalistes lors d’une cérémonie au Château de Voltaire. Dans cette seconde partie, Iyad Alasttal partage son expérience, son travail et son combat pour continuer à raconter les histoires de Gaza au monde entier.

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Le Prix PEC 2024 pour la Protection des Journalistes a été décerné au journaliste palestinien Iyad Alasttal lors d’une cérémonie émouvante au Château de Voltaire à Ferney-Voltaire. Ce prix met à l’honneur son courage exemplaire et son engagement à informer malgré les risques extrêmes liés au conflit en cours. Contraint de fuir la Bande de Gaza après avoir survécu à des bombardements israéliens, Iyad Alasttal s’est réfugié en France avec sa famille. À travers son projet Gaza Stories et ses reportages pour des médias internationaux, il a offert un témoignage poignant sur la vie sous les bombes et les récits des habitants de Gaza. Ce prix, selon la Press Emblem Campaign (PEC), souligne également les pertes tragiques subies par les journalistes dans ce conflit : plus de 150 morts parmi les professionnels palestiniens et libanais depuis octobre 2023. La PEC appelle à des enquêtes indépendantes pour lutter contre l’impunité des attaques visant les journalistes et pour garantir une information libre et pluraliste. Dans cette première partie, Blaise Lempen, président de la PEC, revient sur les enjeux de cette distinction et l’urgence d’agir pour protéger ceux qui informent au péril de leur vie.

Avec l’exposition Post Tenebras Lux, le Musée Ariana à Genève propose une plongée fascinante dans l’univers du vitrail, un art lumineux et complexe qui capte l’imaginaire depuis des siècles. Cette rétrospective exceptionnelle rassemble plus de 200 œuvres, issues des réserves municipales, couvrant une période allant de 1140 à 2007. L’exposition met en lumière des vitraux civils et religieux, en grisaille ou en couleur, et souligne l’importance de ce patrimoine souvent méconnu. En partenariat avec le Vitrocentre Romont et l’Université de Genève, les œuvres présentées bénéficient de récentes restaurations qui en restituent tout l’éclat. Le titre Post Tenebras Lux (« après les ténèbres, la lumière ») reflète à la fois l’impact esthétique et symbolique de cet art. À cette occasion, le corpus genevois, l’un des plus riches et uniques, devient également accessible en ligne, accompagné d’un catalogue d’exposition prévu pour début 2025. Pour aller plus loin, un colloque au printemps 2025 réunira experts et amateurs autour de l’histoire, de la restauration et du marché de l’art verrier. Dans cette série de trois épisodes, nous sommes avec Stanislas Anthonioz, commissaire de l’exposition, et Ambre Oggier, collaboratrice scientifique, pour explorer l’histoire et les secrets du vitrail.

Avec l’exposition Post Tenebras Lux, le Musée Ariana à Genève propose une plongée fascinante dans l’univers du vitrail, un art lumineux et complexe qui capte l’imaginaire depuis des siècles. Cette rétrospective exceptionnelle rassemble plus de 200 œuvres, issues des réserves municipales, couvrant une période allant de 1140 à 2007. L’exposition met en lumière des vitraux civils et religieux, en grisaille ou en couleur, et souligne l’importance de ce patrimoine souvent méconnu. En partenariat avec le Vitrocentre Romont et l’Université de Genève, les œuvres présentées bénéficient de récentes restaurations qui en restituent tout l’éclat. Le titre Post Tenebras Lux (« après les ténèbres, la lumière ») reflète à la fois l’impact esthétique et symbolique de cet art. À cette occasion, le corpus genevois, l’un des plus riches et uniques, devient également accessible en ligne, accompagné d’un catalogue d’exposition prévu pour début 2025. Pour aller plus loin, un colloque au printemps 2025 réunira experts et amateurs autour de l’histoire, de la restauration et du marché de l’art verrier. Dans cette série de trois épisodes, nous sommes avec Stanislas Anthonioz, commissaire de l’exposition, et Ambre Oggier, collaboratrice scientifique, pour explorer l’histoire et les secrets du vitrail.

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Avec l’exposition Post Tenebras Lux, le Musée Ariana à Genève propose une plongée fascinante dans l’univers du vitrail, un art lumineux et complexe qui capte l’imaginaire depuis des siècles. Cette rétrospective exceptionnelle rassemble plus de 200 œuvres, issues des réserves municipales, couvrant une période allant de 1140 à 2007. L’exposition met en lumière des vitraux civils et religieux, en grisaille ou en couleur, et souligne l’importance de ce patrimoine souvent méconnu. En partenariat avec le Vitrocentre Romont et l’Université de Genève, les œuvres présentées bénéficient de récentes restaurations qui en restituent tout l’éclat. Le titre Post Tenebras Lux (« après les ténèbres, la lumière ») reflète à la fois l’impact esthétique et symbolique de cet art. À cette occasion, le corpus genevois, l’un des plus riches et uniques, devient également accessible en ligne, accompagné d’un catalogue d’exposition prévu pour début 2025. Pour aller plus loin, un colloque au printemps 2025 réunira experts et amateurs autour de l’histoire, de la restauration et du marché de l’art verrier. Dans cette série de trois épisodes, nous sommes avec Stanislas Anthonioz, commissaire de l’exposition, et Ambre Oggier, collaboratrice scientifique, pour explorer l’histoire et les secrets du vitrail.

Le service Souffleurs d’Images, développé par l’association française Souffleurs de Sens, a récemment fait son entrée en Suisse romande, grâce à un partenariat avec le Musée International de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge. Cette initiative vise à rendre l’art et la culture accessibles aux personnes aveugles et malvoyantes, en proposant un accompagnement personnalisé lors de spectacles et d’expositions. Pour concrétiser ce projet, une série de formations a été mise en place à destination des bénévoles et des institutions culturelles locales. Ces sessions permettent de constituer un réseau de médiateurs culturels, capables de guider les personnes en situation de handicap visuel à travers des descriptions précises et sensibles des œuvres ou des performances artistiques. Dans cet entretien, Jonas Chéreau, chargé de mission, et Annabel Bernardon, responsable de la participation culturelle, reviennent sur les origines de cette initiative, son impact et les perspectives pour la Suisse romande.

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Le Geneva Graduate Institute a récemment célébré le dixième anniversaire de son séminaire consacré aux relations entre la Suisse et l’Union européenne. Cet événement a permis de réfléchir aux défis et aux opportunités qui se présentent à ces deux partenaires dans un contexte géopolitique en pleine transformation. L’analyse des impacts des récentes élections européennes et américaines a permis d’éclairer les évolutions potentielles du marché unique et les perspectives à long terme des relations Suisse-UE. Chercheurs, décideurs et étudiant.e.s ont échangé sur des questions cruciales allant des accords bilatéraux à l’hypothèse d’une adhésion de la Suisse à l’Espace économique européen ou même à l’Union européenne. Le professeur Cédric Dupont, spécialiste des relations internationales et modérateur de la session prospective sur les relations Suisse-UE à l’horizon 2035, nous offre un éclairage unique sur les scénarios futurs possibles.

L’association pour le Développement Durable ADED incarne une vision du développement portée par des valeurs universelles de solidarité. Fondée en 2011 par Jean-Marc Waridel, ingénieur civil de formation (au centre sur la photo), cette organisation à but non lucratif ambitionne d’être un partenaire clé du développement durable dans le domaine de l’eau, l’assainissement et l’hygiène. Une joyeuse équipe qui nous motive particulièrement par sa vision qui préserve la pérennité des projets qu’elle soutient sur le terrain. PORTES OUVERTES: Les jeudis 12 et 19 décembre de 15h00 à 19h00 80, ch des Sports, 1203 Genève Tél: 076 616 07 02 P : Planète Charmilles

À seulement 25 ans, Shanley Clémot McLaren s’affirme comme une figure incontournable dans la lutte contre le cybersexisme, une forme insidieuse de violence en ligne ciblant principalement les femmes et les jeunes filles. Lauréate du prestigieux Young Activists Summit 2024, elle a su transformer son indignation face à ces injustices en un engagement concret et inspirant. En tant que présidente fondatrice de l’association Stop Fisha, Shanley mène des campagnes de sensibilisation percutantes et initie des actions de terrain pour dénoncer les préjugés sexistes et promouvoir un internet plus sûr et respectueux. Dans cet entretien, Shanley revient sur : Son parcours personnelSes initiativesLes défis Elle partagera également sa vision pour encourager les jeunes générations à faire face à ces nouvelles formes de violence et à militer pour un espace numérique plus égalitaire. Écoutez notre échange avec Shanley Clémot McLaren et découvrez une voix essentielle pour l’égalité des genres.